je ne désire pas renaitre en enfer, c'est pourquoi je refuse de mourir par l'enfer, tachant de préservé ma réincarnation spirituel récament obtenu au paradis, mais impossible d'échappé à la mort peut importe le mépris que j'ai pour le côté obscure, mon esprit finira forcément par divagué dans des pensés toujours plus nombreuse et incertaine, transformé ma volonté en bouleversement radical, si tu a su qui tu était bientôt tu ne fera aucune différence entre la mort et ces illusions, telle est le jeu, bientôt tu aimera joué, joué pour perdre, telle est la vanité, telle est l'enfer , la mort pour toute espoir que de croire en cette mystique, un diable qui te montre le dieu pour te trompé, et une fois avoir tout perdu tu ne meurt pas comme tu l'aurais souhaité , ça recommence et il te faut à nouveau joué avec ta vie , alors connait tu seulement que folie
toute vanité mène à la mort, tu sera bientôt possédé par l'ombre, envouté par la magie, t'en d'illusion, t'en de sens à donné à l'abstrait, t'en de perversion,
croie tu resté juste !? , croie tu encore savoir parler du dieu , depuis les ténèbres ?! dsl mais je ne parle pas de ce que je ne ressent pas !
sinistre damnation que pensé par le passé,
il n'y a plus noble liberté que de mourir pour la création,
telle est le point de vus,
tu est relatif, avant ça tu était relativité seulement, mais maintenant que tu fait partie d'un univers, ta souffrance lui appartiens, telle est le pouvoir, tu ne peut mourir par lui , pure vanité que de croire en dieu, je ne veux pas le croire, je veux être dieu, mais tu nourrie cette fascination pour la mort , telle tu ne sera renoncé au pouvoir, tu ne sera lui résisté , inutile de croire qu'il libérera les autres de leur éternel damnation, il a une emprise absolut sur leurs âmes , évidence qu'est la solitude , seul sentiment dans les ténèbres, pas de réalité, infini manipulation qu'est l'existence, un laboratoire d'où les expériences de la souffrance, identification de l’abstrait , conscience qu'est là croyance , cette état où l'on ne peut que mourir en vaine, telle est là psychose, le pouvoir est une prison,!
je m'étais libéré de l'obscure, mon innocence à nouveau viens d'être troublé par l'obscure de la force,
je me haie , il n'y a pas de sagesse à pensé l'espace, la seul sagesse est de connaitre le cour chemin, hélasse les ténèbres ne permette que l'imprévisible et alors la sagesse ne s’acquière que par l'expérience , terrible tourment qu'est cette vanité , mensonge qu'est alors devenu l'espoir une réalité indissociable de la peur
ma lucidité laissera bientôt place à des contradictions infini, une persuasion dans l'intelligence qu'est l'enfer